Valderes Loyola, une septuagénaire de Brasilia, porte désormais un masque en extérieur à cause de la pollution de l'air liée aux incendies qui ravagent le Brésil. Ces feux, souvent déclenchés par l'homme et aggravés par la sécheresse liée au changement climatique, ont plongé la capitale dans un nuage de fumée. Les écoles ont fermé, et les consultations pour problèmes respiratoires ont explosé dans les hôpitaux.
Les fumées couvrent jusqu'à 80% du territoire selon l'INPE, et des masques sont de retour dans plusieurs villes, notamment en Amazonie, où les incendies sont les pires en 20 ans. À Sao Paulo, la qualité de l'air s'est fortement dégradée, affectant la santé de 40% de ses habitants. Les ventes de collyres ont bondi, et respirer cette fumée équivaut à fumer plusieurs cigarettes par jour, selon les experts.
Le président Luiz Inacio Lula da Silva a reconnu que le pays n'était pas entièrement préparé à gérer cette crise. Seules 1,7% des communes disposent de stations de mesure de la qualité de l'air, et il faudra plus de 20 ans au Brésil pour se conformer aux normes internationales en matière de pollution.
Fini les 70 km/h sur le périphérique parisien : dès mardi, la vitesse maximale passera progressivement à 50 km/h, alignée sur celle ...
Les émissions de gaz à effet de serre en France ont enregistré une baisse de 3,6 % au premier semestre 2024 par rapport aux six premiers mois de l...
L'acidification croissante des océans menace de franchir un nouveau seuil critique, mettant en danger la stabilité de la Terre, sa résilience ...
La géothermie exploite la chaleur naturelle du sous-sol pour produire de l'électricité ou du chauffage, tout en émettant peu de gaz &ag...
À partir de 2026, La Poste prévoit de livrer des colis via une barge circulant sur la Seine, un projet qui permettra d'éviter de parcourir 200...
Un nouveau système de notation, appelé "cyclescore", permet désormais d'attribuer un score environnemental et social aux vélo...