En Occident, "la demande ne retrouvera pas les niveaux auxquels elle était récemment, alors qu'en Asie elle continuera d'augmenter", a-t-il déclaré à l'université Columbia de New York.
Il s'est par ailleurs dit "perplexe" sur l'utilité d'imposer un embargo sur les ventes de gaz à l'Iran, estimant qu'une telle sanction "ne fonctionnerait pas".
Total, qui est le quatrième groupe pétrolier au monde, vend actuellement du gaz à l'Iran. "Si une loi nous dit d'arrêter, nous le ferons", a déclaré de Margerie.
Selon lui, l'Iran sera un jour ou l'autre un important fournisseur en gaz de l'Europe. "Le gaz de l'Iran sera très important pour fournir l'Europe. L'Iran fera partie intégrante de notre système ou nous aurons des problèmes", a-t-il dit.
Joshua Schneyer, Clément Dossin
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