BRUXELLES, 28 novembre (Reuters) - Une initiative française visant à imposer un embargo pétrolier de l'Union européenne contre l'Iran se heurte à l'opposition de certaines capitales, rapportent lundi des diplomates en laissant entendre qu'aucune décision n'interviendra sans doute avant un sommet européen prévu le 9 décembre.
Les ministres des Affaires étrangères des pays de l'UE doivent examiner jeudi de nouvelles sanctions contre Téhéran, à la suite de la publication d'un rapport de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) selon lequel l'Iran a travaillé à la conception d'armes nucléaires.
Les capitales de l'UE ont déjà décidé d'ajouter 180 noms à une liste d'entités et de personnes visées par un gel d'actifs et une interdiction de déplacement dans les territoires de l'UE. Mais les discussions relatives à un éventuel embargo sur les importations de pétrole iranien sont bloquées, selon des diplomates.
"Je ne m'attends pas à ce que le dossier progresse avant le Conseil européen, où la discussion sera plus politique", a dit un haut diplomate européen.
(Ilona Wissenbach et Justyna Pawlak, Philippe Bas-Rabérin pour le service français)
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