En visite à Moscou la semaine dernière, le Premier ministre israélien avait cherché l'aval du Kremlin à des sanctions fermes contre Téhéran pour freiner son programme militaire nucléaire présumé. Lundi encore, Benjamin Netanyahu a souhaité la mise en place immédiate d'un embargo sur le secteur pétrolier iranien (voir [nLDE61L0ZA]).
"Nous n'allons pas travailler sur des sanctions ou des mesures qui pourraient déboucher sur l'isolement politique, économique ou financier de ce pays", a déclaré Oleg Rojkov, directeur adjoint du département des affaires de sécurité et de désarmement du ministère.
"Quelle relation y a-t-il entre l'interdiction des activités bancaires avec l'Iran et la non-prolifération?" s'est-il interrogé devant des journalistes. "C'est un blocus financier. Et du pétrole et du gaz. Ces sanctions ne visent qu'à paralyser le pays et paralyser le régime."
L'Iran dispose des deuxièmes réserves pétrolières au monde mais a besoin d'investissements pour les exploiter.
La question de nouvelles sanctions internationales contre Téhéran a resurgi ces dernières semaines avec la décision iranienne de produire de l'uranium enrichi à 20%.
Le pays soutient qu'il ne cherche à développer l'énergie nucléaire que pour produire de l'électricité. (Guy Faulconbridge, version française Jean-Stéphane Brosse)
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